Actualités
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Voyages
Pourqoui vouloir aller ailleurs, alors que là où je suis, je peux aller ailleurs sans quitter l’ici ? Pour ce faire ,je m’installe dans mon fauteuil favori , je m’y cale bien, vertèbre après vertèbre, je me détends, je fais le vide , invitant ainsi l’univers à entrer : je suis à présent au milieu du désert que le vent faconne et cisèle à sa guise, dune apres dune infatigablement. Je suis au sommet de l’everest, je claque des dents. Les plages ombragées de cocotiers des iles marquises m’enveloppent de leur souffle chaud et du bleu turquoise de leur discret ressac, je jubile. je me perds dans les venelles de…
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chronique 29 janvier 2023 – Miss N
Comme autant de gravides solitudes Françoise Barats-Pallez Hello les accros ! Et si on évoquait un sujet dont nous connaissons tous les effets. Qu’ils soient bons où mauvais… La solitude…. Comme autant de gravides solitudes Françoise Barats-Pallez Éditeur BOD Books on demande éditions Quatrième de couverture : Je ne suis plus parmi vous mais je reste là par l’intermédiaire de ce recueil de nouvelles, mélange d’histoires vraies plus où moins romances. Voulant publier ce livre, mais n’ayant pas eu l’occasion de le faire mais maintenant c’est chose faite. L’occasion de découvrir un panel de personnages, haut en couleurs. Vous découvrirez une surprise à la fin du roman. la nouvelle « Le…
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Françoise Barats Pallez
Françoise Barats : une vie d’écriture Françoise Barats est une écrivaine française passionnée par la langue anglaise et la culture britannique. Mais l’écriture a toujours été sa passion. Dès son plus jeune âge, Françoise Barats écrivait des pièces de théâtre classiques qu’elle jouait avec des amies devant sa famille. Professeur d’anglais, elle a passé deux ans de sa vie en Grande-Bretagne. En 1955, elle a rédigé un livre sous forme de scrapbooking en anglais, qui décrit sa vie à Dorchester près de la célèbre baie de Weymouth, du 24/02/1955 à juin 1955 non publié à ce jour. Sources d’inspirations Pays où elle a puisé l’inspiration pour écrire des nouvelles et…
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Anecdote cette année là
L’année 1935 – une nouvelle avec un poêle Je dois avoir trois ans. Il me semble que c’est mon tout premier souvenir : je revois un embrasement de charbons rougis et des flammes opalescentes qui dansent dans le foyer de la cuisinière à charbon. La cuisine est mon repaire favori. Je m’y sens bien : il y fait chaud en hiver malgré la neige, malgré le gel. Pauline, qui est à la fois notre cuisinière, ma nourrice et qui, de temps à autre, remplace ma grand-mère, sait faire de si jolis gâteaux. Ce jour-là, je me tiens bien sage près de la porte du four où une douzaine de meringues…
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Révélations concernant la nouvelle Le service des dames
Dans notre recueil, une nouvelle intitulée « Le service des dames » évoque le séjour de Françoise Barats à Weymouth en 1955, une charmante petite station balnéaire britannique. L’auteur y fait référence au tableau de John Constable représentant la baie en 1818-1819, où l’on peut voir que le peintre a choisi de mettre en avant le ciel plutôt que la baie, qui n’occupe qu’un tiers de la toile. En effet, l’œuvre s’intitule « La baie de Weymouth à l’approche de l’orage », expliquant ainsi l’agrandissement du tableau pour laisser plus de place au ciel. Ce tableau a été gravé par David Lucas pour illustrer notre recueil « English Landscape Scenery », et nous l’utilisons également pour…
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Anecdotes sur la terrasse
La terrasse au centre de Montpellier existe bien et est à ce jour une riche source d’inspiration pour Francoise Barats. Elle est un lieu de mémoire et de partage pour les habitants de Montpellier et un lieu de découverte pour les visiteurs. Les polémiques sur la terrasse Elle fut l’objet de plusieurs polémiques, servant essentiellement de lieu pour pendre du linge. Nous ne manquions pas de voir une voisine déjà âgée, le faire régulièrement. Elle devait se faufiler en passant au dessus d’un balcon particulièrement difficile d’accès au prix d’incroyables contorsions. Le danger de la terrasse La terrasse n’est pas normalement accessible vue qu’il n’y a pas de barrière de…
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Anecdotes sur le mas
On fait référence à une habitation tout en longueur similaire à celle achetée dans les années 60-70, mais sans les oliviers. C’était plutôt une région de châtaigniers mais on retrouve l’ambiance de cette maison de campagne dans cette nouvelle. Il y avait bien un figuier à l’une des entrées de la maison et qui est encore là aujourd’hui. Histoire du mas On pouvait aussi remarqué les restes d’une vigne qui ne donnait que des raisins plutôt acides. Après Il y aussi des choses inventées dans le livre. Lors d’un voyage en Russie, nous avons déniché des matriochkas. Elles se trouvaient à Montpellier et non pas dans la maison de campagne…
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Palais des vents (Quartier Bloomsbury)
La galerie Courtauld La nouvelle intitulée « Le palais des vents » fait référence à la Galerie Courtauld, un musée d’art situé dans le Somerset House, au cœur de Londres sur le Strand. C’est dans cette galerie que Françoise Barats situe la maison de tante Maud, l’héroïne de cette nouvelle. Ainsi la maison de tante Maud donne sur le jardin de la Galerie Courtauld. Et même le British Museum, un autre musée emblématique britannique, fait de l’ombre à sa petite maison. Tante Maud ne pouvant voyager, elle découvre le monde à travers les collections de peintures détenues par l’institut Courtauld. Elle se rend également à la Tate Gallery pour admirer les peintures…
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La terrasse tragi-comédie ?
Ce texte parle du recueil « Comme autant de gravides solitudes » qui comprend des nouvelles à la fois tragiques et mélancoliques. Mais également des histoires humoristiques aux dimensions tragi-comiques. La terrasse objet de la nouvelle La première nouvelle du livre, appelée « La Terrasse », raconte l’histoire de Madame Noblet, une femme seule qui observe des travaux. Leur but, ouvrir une fenêtre directement sur sa terrasse. Madame Noblet est obsédée par son linge et ses pitons fixés à l’emplacement de la future ouverture. Mais elle est inquiète à cause aussi des paroles des voisins qui parlent d’ouverture et de manque de lumière. Situation de la terrasse face aux voisins Après le début des…
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La notion de solitude dans le recueil
Le titre du recueil évoque la diversité des formes de solitude, qui peuvent se présenter sous différentes situations. Les personnages de ces nouvelles sont souvent seuls, que ce soit dès le début ou à la fin de leur histoire. Francoise Barats met souvent en avant les femmes dans ces récits. Évoquons tout d’abord les cas de couples mariés laissant beaucoup de charges pour les femmes en général les conduisant ou les maintenant dans leur solitude. Quelques solitudes amoureuses L’héroïne dans la nouvelle intitulée « Le Palais des Vents » doit faire face à la solitude après la mort de son mari. Elle doit alors prendre des décisions rapport à une…