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    Anecdote cette année là

    L’année 1935 – une nouvelle avec un poêle Je dois avoir trois ans. Il me semble que c’est mon tout premier souvenir : je revois un embrasement de charbons rougis et des flammes opalescentes qui dansent dans le foyer de la cuisinière à charbon. La cuisine est mon repaire favori. Je m’y sens bien : il y fait chaud en hiver malgré la neige, malgré le gel. Pauline, qui est à la fois notre cuisinière, ma nourrice et qui, de temps à autre, remplace ma grand-mère, sait faire de si jolis gâteaux. Ce jour-là, je me tiens bien sage près de la porte du four où une douzaine de meringues…

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    Anecdotes sur le mas

    On fait référence à une habitation tout en longueur similaire à celle achetée dans les années 60-70, mais sans les oliviers. C’était plutôt une région de châtaigniers mais on retrouve l’ambiance de cette maison de campagne dans cette nouvelle. Il y avait bien un figuier à l’une des entrées de la maison et qui est encore là aujourd’hui. Histoire du mas On pouvait aussi remarqué les restes d’une vigne qui ne donnait que des raisins plutôt acides. Après Il y aussi des choses inventées dans le livre. Lors d’un voyage en Russie, nous avons déniché des matriochkas. Elles se trouvaient à Montpellier et non pas dans la maison de campagne…

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    Palais des vents (Quartier Bloomsbury)

    La galerie Courtauld La nouvelle intitulée « Le palais des vents » fait référence à la Galerie Courtauld, un musée d’art situé dans le Somerset House, au cœur de Londres sur le Strand. C’est dans cette galerie que Françoise Barats situe la maison de tante Maud, l’héroïne de cette nouvelle. Ainsi la maison de tante Maud donne sur le jardin de la Galerie Courtauld. Et même le British Museum, un autre musée emblématique britannique, fait de l’ombre à sa petite maison. Tante Maud ne pouvant voyager, elle découvre le monde à travers les collections de peintures détenues par l’institut Courtauld. Elle se rend également à la Tate Gallery pour admirer les peintures…

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    La terrasse tragi-comédie ?

    Ce texte parle du recueil « Comme autant de gravides solitudes » qui comprend des nouvelles à la fois tragiques et mélancoliques. Mais également des histoires humoristiques aux dimensions tragi-comiques. La terrasse objet de la nouvelle La première nouvelle du livre, appelée « La Terrasse », raconte l’histoire de Madame Noblet, une femme seule qui observe des travaux. Leur but, ouvrir une fenêtre directement sur sa terrasse. Madame Noblet est obsédée par son linge et ses pitons fixés à l’emplacement de la future ouverture. Mais elle est inquiète à cause aussi des paroles des voisins qui parlent d’ouverture et de manque de lumière. Situation de la terrasse face aux voisins Après le début des…

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    La notion de solitude dans le recueil

    Le titre du recueil évoque la diversité des formes de solitude, qui peuvent se présenter sous différentes situations. Les personnages de ces nouvelles sont souvent seuls, que ce soit dès le début ou à la fin de leur histoire. Francoise Barats met souvent en avant les femmes dans ces récits. Évoquons tout d’abord les cas de couples mariés laissant beaucoup de charges pour les femmes en général les conduisant ou les maintenant dans leur solitude. Quelques solitudes amoureuses L’héroïne dans la nouvelle intitulée « Le Palais des Vents » doit faire face à la solitude après la mort de son mari. Elle doit alors prendre des décisions rapport à une…

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    Etrange salon de coiffure à la mode espagnole

    Vous voulez vous faire couper les cheveux, rien de plus normal que d’aller chez un coiffeur. C’est ce que Léopold veut faire, mais ce salon n’était à proprement parlé un lieu ordinaire comme le reste des autres lieux de coiffure. Rien que l’aspect extérieur était totalement différent.  Salon de coiffure à la sauce espagnole  En effet la boutique comportait une sorte de muleta, c’est à dire une cape de matador à la place de l’enseigne traditionnelle. Celle que l’on peut voir habituellement pour symboliser un coiffeur, comme un néon en forme de seiche-cheveux. Pendant un certain temps Léopold va hésiter a entré dans le local, tout impressionné par la série…

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    La Conception du Recueil Tome I

    Ce livre est un recueil de plusieurs nouvelles, dix-neuf exactement.Françoise Barats a écrit ces nouvelles sur une période de 10 ans entre le 31 décembre 1996 et le 26 Mars 2006, qui a commencé il y a plus de 25 ans. Histoires autobiographiques pour certaines nouvelles comme celle du pensionnat du Sacré-Coeur. Origine du recueil de nouvelles Il faut noter que d’autres sont plus ou moins romancées suivant l’imagination de Françoise Barats. Souvenirs d’époques révolues ou histoires de divers protagonistes hauts en couleurs. Comme précisé plus haut les idées de nouvelles sont multiples et variées offrant un large panel de personnages allant d’un cousin fils de fermier à une tourterelle.…

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    Ou trouver Comme Autant de Gravides Solitudes tome I ?

    Le tome I du recueil de nouvelles « Comme autant de gravides solitudes » vous intéresse ? Le principe du recueil Le recueil de nouvelles intitulé « Comme autant de gravides solitudes » rassemble dix-neuf histoires. Ecrites par Françoise Barats sur une période de 25 ans, débutée il y a plus de 35 ans. A ce propos, certaines sont autobiographiques. D’autres sont plus ou moins romancées, offrant un large panel de personnages pertinents. Le livre est un véritable abécédaire d’histoires, passant de l’abonnement à la tour d’ivoire en passant par des sujets aussi surprenants que variés tels que l’amour, l’amitié et la trahison. Chaque nouvelle détient une cohérence et une force interne à découvrir…

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    Ma relation avec

    moi-même n’a jamais été des plus faciles. D’emblée, les deux poissons de mon signe astrologique n’ont cessé de tirer à hue et à dia sur cette sorte de cordon ombilical qui les relie et ils se retrouvent aussitôt en perpétuelle opposition. Il s’avéra que, dès ma conception, ils avaient décidé, d’un commun accord pour une fois, d’être chacun d un avis contraire. Ainsi, peu avant ma naissance, une part de moi- même serait bien volontiers restée douillettement blottie dans le ventre de ma mère, mais l’autre moi préféra accepter l’aide de forceps plutôt que d’attendre encore un peu, curieux de découvrir le monde au plus vite. Je fus donc extirpée…